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Marseille leapfrogged Lyon into fourth place in the Ligue 1 table after edging out their title rivals at the Stade Velodrome.

Charles Kabore and Taye Taiwo scored for the hosts, either side of a Bafetimbi Gomis equaliser, with Taiwo’s winner coming nine minutes from time.

The return fixture in November was an astonishing 5-5 draw but this was a more cagey affair although Lyon could have established a commanding early advantage had it not been for some poor finishing, a lack of fortune and some good goalkeeping from Marseille’s Steve Mandanda.

After five minutes, Sidney Govou and Aly Cissokho combined to feed Miralem Pjanic at the far post and his effort required Mandanda to scramble across his line to make the save.

Five minutes later, Kim Kallstrom found space in the area but his first-time effort was off target.

Lyon came closer after 12 minutes when Anthony Reveillere crossed from the right to Cesar Delgado at the far post and his volley came back off the upright.

Marseille weathered the storm and gradually played their way back into the contest.

Taiwo shot just wide before, after 36 minutes, Lucho Gonzalez came within inches of putting the hosts in front with a drive from the edge of the area.

Lyon hit the woodwork again at the start of the second period, Pjanic crashing a shot against the angle of post and bar from 12 yards with Mandanda beaten.

Marseille countered with two efforts from Kabore before a third resulted in the opening goal.

Having been played in by Stephane M’bia, Kabore shrugged off Kallstrom before lashing in a shot which beat Hugo Lloris via a slight deflection off Cris.

Lyon levelled with 10 minutes to go, Kallstrom’s free-kick headed home by Gomis.

But Marseille swiftly restored their advantage when Taiwo, having seen his first effort blocked by Delgado, lashed the rebound past Lloris.

Lyon nearly snatched a deserved equaliser in the third minute of injury time but Ishak Belfodil’s volley was just off target.

Marseille are just three points behind joint leaders Bordeaux and Montpellier with Lyon a further two points adrift in sixth.

espnsoccernet.com

L’Olympique de Marseille s’est vengé! Battus la saison passée sur leur pelouse par l’OL lors de la 36e journée de Ligue 1 (1-3), les Marseillais ont pris une éclatante revanche sur leur adversaire, ce dimanche, grâce à deux réalisations de Kaboré (67e) et Taiwo (81e). Gomis n’aura finalement pu que réduire la marque pour l’Olympique Lyonnais (79e), qui a sans doute reçu le coup de grâce dans la course au titre. Les Rhodaniens, 6e, pointent à cinq longueurs du leader bordelais avec un match en plus. Les Phocéens, 4e à trois longueurs de Bordeaux, ne lâchent rien. Le titre est toujours d’actualité sur la Canebière.

Et si cet OM-OL, comme la saison passée en toute fin d’exercice, était un tournant de la saison pour les deux formations? Cette victoire au courage des Phocéens (2-1), ce dimanche soir, n’intervient qu’à la 29e journée de Ligue 1, mais change bien la donne dans le haut du tableau. Alors que Bordeaux, Montpellier et Auxerre (les trois premiers) l’ont emporté lors de cette levée, Marseille suit donc la cadence et repasse 4e. L’élimination en Ligue Europa contre Benfica, jeudi, pourrait ainsi permettre à la formation de Deschamps de concentrer ses forces sur la chasse aux Bordelais. Jusqu’alors invaincus en championnat cette année, les hommes de Puel connaissent un coup d’arrêt 10 jours avant de retrouver justement le leader de la Ligue 1, mais en quarts de finale de la Ligue des champions. Deux destins croisés en somme…

La barre de Mandanda tremble deux fois!

Évidemment, ce duel des Olympiques n’a pas offert autant de spectacle qu’à aller (5-5), mais cela n’a pas empêché les deux formations d’offrir une très belle partie dès les premiers instants du clash. Étonnamment, alors que l’OM tentait de mettre le pied sur le ballon, les Gones bloquaient d’entrée les velléités adverses et se projetaient avec efficacité en attaque. Ils auraient d’ailleurs pu ouvrir le score à plusieurs reprises dans la première heure de jeu en tirant deux fois sur la transversale. Delgado lançait les hostilités en fracassant la barre, d’une puissante reprise du gauche sur un centre de Govou (12e). Au retour des vestiaires, c’est Pjanic qui manquait de battre Mandanda pour quelques millimètres (46e).

Lisandro, placé en pointe, se faisait discret et ne parvenait pas peser sur la charnière Diawara-Mbia. Ses déplacements vers la gauche profitaient en réalité à son compatriote Delgado, souvent insaisissable quand il repiquait depuis la gauche. Pjanic clairement placé devant les récupérateurs, dans un 4-2-3-1 donc, lançait également les offensives des siens grâce à sa perfection technique. Le Bosnien allumait d’ailleurs la première mèche, d’un sombrero suivi d’un tir à côté (2e). Källström (9e), Gonalons (18e) ou Govou (20e) manquaient également de précision de l’extérieur de la surface. Très solides défensivement, les hommes de Puel manquaient donc de réalisme en contres.

Gonalons fébrile

L’OM avait du répondant, mais faisait preuve d’une imprécision technique malvenue pour un tel match. Lucho, disponible, tentait de combiner avec Valbuena. Sans vraiment de résultat. Cheyrou blessé, Kaboré était loin d’effectuer le même travail dans la construction du jeu dans un rôle de relayeur gauche. Le Burkinabé ne touchait que très peu de ballons, Marseille passant rarement par la gauche. Ben Arfa, de retour dans le onze à la place de Brandao (Niang restant dans l’axe), s’offrait quelques percées mais quand il n’était pas stoppé rapidement par ses anciens coéquipiers, ses enchaînements de dribbles finissaient dans les pieds rhodaniens.

A défaut de pouvoir concrétiser leur légère domination dans la possession avec des actions collectives aboutissant dans la surface de Lloris, les Phocéens se montraient d’abord dangereux sur coups de pied arrêtés. Il faut dire que Gonalons, titularisé en raison du recul de Toulalan en défense centrale (Boumsong étant blessé), accumulait les fautes. M. Fautrel ne le sanctionnait d’un avertissement qu’en fin de première période. Un coup franc de Taiwo, dévié par le mur en corner, réveillait les siens (14e). Puis le Nigérian s’infiltrait ensuite dans la surface avant de réaliser un centre devant le but que Toulalan dégageait en catastrophe (27e). Niang, pour une fois lancé en profondeur, par Lucho, ne pouvait que reprendre mollement de la pointe du pied (35e).

Taiwo trop puissant

Marseille semblait toutefois prendre le dessus. Et le début de la seconde période le confirmait. Kaboré cadrait une première frappe (50e) et une seconde tentative permettait à son équipe d’ouvrir le score. Dans l’axe, l’ancien de Libourne effaçait Källström et tirait du droit. Cris déviait le cuir, donnant une trajectoire parabolique à la frappe, ce qui trompait Lloris (67e, 1-0). Avant ça, Niang avait raté une énorme occasion. Lucho contré dans la surface, le Sénégalais enroulait son ballon mais n’accrochait pas le cadre (59e). Il ne manquait ensuite que quelques centimètres au capitaine marseillais pour prolonger une tête de Brandao (64e), tout juste entré en jeu à la place de Valbuena (62e).

Lyon s’était donc éteint depuis son tir sur la barre de Pjanic dès l’entame du second acte. Le bloc orange et noir se désorganisait et les jaillissements offensifs étaient tués dans l’oeuf dès le milieu de terrain. Claude Puel avait d’ailleurs senti le coup en lançant Gomis en lieu et place de Govou (64e), quelques instants avant l’ouverture du score. Lyon passait donc en 4-4-2, reprenait sa marche en avant, manquait de fluidité dans les 30 derniers mètres adverses mais parvenait à égaliser sur coup franc. Källström envoyait dans la mêlée et Gomis, lâché par Diawara, trompait Mandanda de la tête (79e, 1-1).

A l’image d’Auxerre (le 3e) samedi soir, Marseille l’emportait finalement en reprenant l’avantage directement après l’égalisation. A la suite d’un corner repoussé par Cris, Taiwo était contré une première fois avant de tenter sa chance depuis la gauche. La frappe limpide finissait dans les filets adverses après avoir rebondi sur le montant opposé (81e, 2-1). Désabusé, l’OL ne revenait pas une seconde fois au score. Mandanda préservait le score en captant un tir lointain de Gomis (89e), avant une ultime tête hors cadre du jeune entrant Belfodil (94e). Alors que Lyon enchaînera avec un petit derby contre Grenoble la semaine prochaine, quelques jours avant sa première manche contre Bordeaux, l’OM affrontera donc ces mêmes Girondins samedi prochain, pour une finale de la Coupe de la Ligue qui n’est donc pas le “match le plus important de la saison” pour les Marseillais.

football.fr

Lyon were forced to settle for a point after their Champions League heroics last week in a game of two halves against St Etienne.

After overcoming Real Madrid in the Champions League first knockout round on Wednesday, Claude Puel’s side were returning to domestic action.

In a terribly disjointed first half Emmanuel Riviere put St Etienne ahead. The second half was the opposite, however, as Lisandro Lopez levelled before the hosts had numerous chances to win it.

In the eighth minute Riviere set Dimitri Payet through but his low drive was blocked by Hugo Lloris as St Etienne started strongly.

They had another opportunity four minutes later when Bakary Sako released Gonzalo Bergessio on the left of the area, with the Argentinian playing in Riviere.

The forward was in acres of space but despite having all the time in the world, ludicrously hit his shot against the post.

The pressure continued, however, as Les Verts produced another chance in the 15th minute when Blaise Matuidi’s left-wing cross found Riviere and he could only head wide.

Riviere finally got his eye in for the opening goal, however, in the 39th minute.

Bergessio raced down the left and fed Riviere, who was unmarked at the far past and headed past Lloris with Dejan Lovren nowhere to be seen.

St Etienne thoroughly deserved their half-time lead but were hit by a tidal wave of Lyon pressure in the second period.

After a slow start Jeremy Toulalan fired one in from just inside the box but Jeremie Janot made the save.

Lisandro had a go from 12 yards at an angle but dragged his effort narrowly wide. Cris had a header from Kim Kallstrom’s corner which fell to Bafetimbi Gomis, only to see Mouhamadou Dabo block and clear.

The effective Toulalan sent a powerful left-footed volley goalwards which Janot saved sublimely while Gomis’ low drive a minute later was again saved.

Yet again Janot kept his side’s lead intact as Aly Cissokho crossed for Lisandro, whose scissor-kick was stopped superbly.

Finally, in the 80th minute, the leveller came. Lisandro was the man to convert it, scoring the easy chance when he found himself in space and blasted his effort in off the crossbar.

The momentum was in Lyon’s favour and Toulalan headed against the bar from the back post as they pushed for a winner.

Janot again proved to be key for the visitors as Kallstrom’s 86th-minute free-kick forced yet another excellent stop.

espnsoccernet.com

Quel superbe derby de Rhône-Alpes! Samedi soir, pour le compte de la 28e journée de Ligue 1, l’OL et l’ASSE se sont neutralisés (1-1) au terme d’une belle partie au Stade de Gerland. Les Verts ont ouvert le score par Rivière (38e), mais les Gones ont réagi en seconde période, Lisandro égalisant à la 79e minute après quelques énormes parades de Janot. Les Rhodaniens manquent de revenir à hauteur du leader bordelais, enchaînant même un 2e résultat nul en championnat, 3 jours après leur exploit à Madrid.

La Ligue 1 ou la Ligue des champions? Jouer le titre ou réaliser une historique épopée sur le Vieux Continent? Lyon peut jouer sur les deux tableaux. Sauf que 3 jours après leur retentissant exploit à Madrid en huitièmes de finale retour, les hommes de Claude Puel ont manqué l’opportunité de revenir à hauteur de Bordeaux, le leader, qui a été tenu en échec à Monaco quelques instants auparavant. C’est d’ailleurs le second nul concédé en championnat, une semaine après le déplacement à Boulogne-sur-Mer (0-0). Mais ce derby rhônalpin contre le rival stéphanois aura tenu toutes ses promesses. La victoire ne fut pas arrachée par les protégés de Gerland, mais le scénario de la rencontre donnera certainement encore plus de confiance à Toulalan et ses coéquipiers.

Rivière sans scrupule

Et malgré la domination locale dès les premiers instants, les visiteurs se sont procuré les meilleures opportunités en contre-attaques, avec notamment un Emmanuel Rivière intenable. Payet et Sako faisaient les efforts suffisants pour remonter le ballon afin de mettre sur orbite le duo d’avant-centres. Bergessio, pourtant le plus chevronné des deux, gâchait la première situation chaude en tentant de tirer du gauche dans un angle fermé alors qu’il y avait bien mieux à faire (13e). L’Argentin manquait aussi de s’emmener le ballon pour défier Lloris (38e). Et quand il cadrait son tir, Lloris repoussait sur Rivière. Le jeune Martiniquais ratait l’immanquable, même s’il était sanctionné d’une position de hors-jeu imaginaire (18e).

Vingt minutes plus tard, l’international espoirs se rattrapait en ouvrant le score. En contre, toujours, Bergessio s’échappait sur la gauche pour centrer vers son jeune coéquipier, qui trompait Lloris de la tête (0-1, 38e). Sur l’action, Lovren (titulaire en l’absence de Boumsong) avait complètement oublié son vis-à-vis, seul danger dans la surface.

Janot finit pas céder

L’OL revenait aux vestiaires avec un désavantage au tableau d’affichage. Pour une fois positionnés haut sur le pré, les Gones butaient sur le mur vert, ne poussant pas assez leurs actions. Les tentatives lointaines, d’Ederson, Govou ou Källström n’inquiétaient pas Janot. Lyon attendait la seconde période pour se révolter, grâce notamment à l’entrée de Lisandro, à la place de Pjanic, pour soutenir Gomis. L’Argentin réveillait les siens d’une frappe au-dessus (49e), Toulalan l’imitant en terme de précision (57e).

Puis ce fut le show Janot. Le petit portier du Forez ratait d’abord sa sortie, occasionnant un énorme cafouillage devant sa cage (66e), avant de sortir le grand jeu sur une volée du gauche de Toulalan (67e) et sur une reprise acrobatique à bout portant de Lisandro (72e). Super-héros le Janot? L’Argentin trompait finalement le gardien adverse de la tête, sur un centre de Toulalan (1-1, 79e). Le milieu des Bleus manquait même de marquer le but de la victoire en frappant la barre transversale (85e).

Et pour couronner ce choc régional, les Verts s’offraient l’ultime occasion de la partie, la chevauchée de Sako sur la gauche ne trouvant personne devant la cage de Lloris (89e). Poussée par ce bon point pris à Gerland (où il n’a plus gagné depuis 16 ans), l’ASSE poursuivra son parcours contre Nancy, afin d’assurer son maintien le plus tôt possible. L’OL n’est pas au bout de ses émotion. Le club de Jean-Michel Aulas jouera un nouveau sommet, dimanche prochain, contre l’OM.

football.fr

Olympique Lyonnais scuppered Real Madrid CF’s dream of reaching the UEFA Champions League final at their Santiago Bernabéu home, Miralem Pjanić’s late strike taking the French side into the quarter-finals.

Cristiano Ronaldo had given the home team – who have now fallen at this stage six seasons running – the perfect start as they looked to overturn a 1-0 first-leg deficit, cancelling that out inside six minutes. However, Lyon emerged for the second half transformed and passed up several presentable openings to level on the night. In the 75th minute Pjanić made no mistake, rounding off an incisive move with a thumping finish and Madrid could find no reply.

Manuel Pellegrini had called on Madrid’s fans to produce a similar atmosphere to that which propelled Los Merengues to a comeback victory against Sevilla FC at the weekend and the home support duly obliged in the opening stages. The team themselves responded as Ronaldo raced onto Guti’s left-footed pass from deep to outpace Cris and slide a low shot through the legs of Hugo Lloris for his seventh goal in the competition this season.

The nine-time European champions streamed forward in search of more, Kaká seeing his effort from the left saved by Lloris and Ronaldo heading over when well placed. Midway through the half the home side came closer still to doubling their lead. Another pass through the heart of the visiting defence from Esteban Granero set Gonzalo Higuaín bearing down on goal and the Argentinian evaded the on-rushing Lloris only to shoot against the inside of the post with the angle closing. Minutes later, the goalkeeper produced a splendid one-handed stop to deny Higuaín again.

Despite being on the back foot for much of the opening period Lyon – who secured draws on their previous two visits here – did manage to threaten the home goal on occasion. Jérémy Toulalan swerved an effort wide while first-leg scorer Jean II Makoun mis-hit his effort from Sidney Govou’s centre. Claude Puel nevertheless looked to stem Madrid’s attacking flow by introducing Kim Källström and Maxime Gonalons at the break and the latter almost made an immediate impact when he reached Govou’s cross only to head over. Encouraged, Lyon pressed further, Govou lashing high and wide when given time and space.

Les Gones were playing with increasing belief and the chances continued to come, the previously quiet Lisandro stinging the fists of Iker Casillas with a dangerous drive from distance. Madrid countered as the quick-footed Ronaldo provided for Kaká to shoot wide but the momentum had already shifted and the visitors took advantage with 15 minutes left. In a slick move, Källström and César Delgado worked the ball in from the left to the feet of Lisandro and the Argentinian’s first-time lay-off found Pjanić to blast in at Casillas’s near post.

With the previous vociferous home support stunned into silence, Lisandro could have made the night all the sweeter for Lyon had he not sliced wide. The visiting supporters paid little heed, however, as they cheered their team into the last eight for the first time since 2005/06.

uefa.com

Ils l’ont fait et c’est énorme! Vainqueur du 8e de finale aller de Ligue des champions contre le Real Madrid à Gerland (1-0), Lyon est parvenu à décrocher un résultat nul capital (1-1) sur la pelouse de Bernabéu grâce à Pjanic (75e). Pourtant, Cristiano Ronaldo avait rapidement ouvert la marque pour les Merengues (6e). Mais l’OL, déjà vainqueur de ses deux précédentes confrontations contre le Real en phases de poules de C1, s’est donc ouvert les quarts de finale de l’épreuve en éliminant l’un des favoris à la succession du Barça. Et Bernabéu, stade où se disputera la finale, a perdu son Real Madrid. Un sévère écueil pour Pellegrini, Ronaldo et Kaka, recrutés à prix d’or pour atteindre cet objectif.

Pour fêter ses 108 ans et après avoir dépensé plus de 250 millions d’euros pour recruter Cristiano Ronaldo, Kaka ou encore Raul Albiol lors de la précédente intersaison, le Real Madrid ne décrochera pas une dixième Ligue des champions en 2010. La faute à un Olympique Lyonnais qui a réalisé un véritable exploit sur la pelouse des Galactiques. Un Stade Santiago-Bernabéu qui perd également son équipe alors que la finale se disputera le 22 mai 2010 dans cette enceinte. Pourtant, après une première période ratée, on ne donnait pas cher du 4-3-3 de l’Olympique Lyonnais avec Delgado sur la gauche, pour remplacer Michel Bastos, et Lisandro en pointe face au 4-3-3 des étoiles de Manuel Pellegrini avec un trident offensif Granero-Kaka-Ronaldo pour épauler Higuain en attaque. Guti était même appelé en renfort pour évoluer un cran plus bas et pallier l’absence de Xabi Alonso pour suspension.

Une première période étouffante

Dès la première minute de jeu, le Real s’offrait d’ailleurs la première occasion mais une belle intervention de Lloris, qui fermait l’angle sur la gauche de sa surface devant Kaka, empêchait le Brésilien d’ouvrir la marque. Ne pressant pas le porteur du ballon, Lyon s’exposait aux fulgurances du Real et payait même la note après seulement six minutes de jeu. Guti, en jambes après sa prestation contre Séville lors de l’ultime journée de Liga (3-2), ouvrait dans la profondeur pour Cristiano Ronaldo, qui prenait tout le monde de vitesse. D’une frappe croisée, le Portugais glissait le ballon entre les jambes de Lloris et remettait les deux équipes à égalité sur l’ensemble des deux matches (1-1).

Homme le plus sollicité en début de match, le portier de l’équipe de France devait encore s’employer après un numéro de Kaka devant un Pjanic dépassé par un petit pont. Le portier international captait tout de même le cuir sur le tir insuffisamment enroulé par le meneur de jeu merengue (10e). Auteur du premier but, “CR9” ratait quant à lui le KO d’une tête trop enlevée consécutive à un corner côté droit de Granero (12e). Contraint d’évoluer bas pour contenir la ligne offensive madrilène et la vitesse balle aux pieds de Ronaldo, l’OL ne tenait pas suffisamment le ballon pour contester l’hégémonie madrilène. Avec une charnière centrale Boumsong-Cris trop lente, il était impossible pour les Lyonnais d’évoluer trop haut, ce qui aurait eu pour conséquence de libérer des espaces dans lesquels le club de la capitale espagnole se serait fait un plaisir de s’engouffrer. Après 18 minutes de jeu, seule une frappe de Toulalan, trop enroulée, s’échappait du cadre de Casillas. Et quand le portier espagnol devait intervenir, “San” Iker le faisait proprement au devant de Lisandro, parti à son encontre (20e). “Licha Blanca” exhortait quant à lui ses partenaires à se projeter plus rapidement vers l’avant pour exploiter le moindre espace.

Ronaldo à la vitesse de la lumière

En face, le Real ne se posait pas les mêmes questions et jouait avec ses armes. Et Lyon était tout heureux de s’en sortir indemne, pliant mais ne rompant pas. D’abord sur une ouverture de Granero pour une frappe d’Higuain sur le poteau alors que Lloris était sorti, laissant le but absolument vide à l’avant-centre madrilène (26e). Ensuite sur un tir du même Argentin, alerté par Kaka à l’entrée de la surface, mais cette fois-ci détourné par l’ancien Niçois, qui se rattrapait d’une entame de match moyenne (28e). Acculé sur son but, Lyon retardait l’échéance malgré les permutations incessantes de Granero et Ronaldo sur les ailes et les services millimétrés de Kaka et Guti. Lyon n’évoluait qu’en contres et manquait pourtant de peu l’égalisation sur un service de Govou et une frappe gâchée de Makoun au point de penalty (35e). Le Real, dominateur, ne parvenait pas à prendre un avantage plus conséquent. Sur un nouveau service de Granero, côté droit, Higuain ratait encore le cadre sur une tête du point de penalty (40e). Toulalan cherchait pour sa part à alerter Pjanic mais le Real tenait le choc au niveau défensif jusqu’au repos.

Avec un Claude Puel souhaitant gagner en maîtrise après le repos, Lyon avait toujours la possibilité de faire trembler le grand Real malgré un score en sa défaveur. Largement dominateur lors du premier acte, le Real n’avait pour autant qu’un but d’avance dans son enceinte. Et maladroits malgré une kyrielle d’occasions, les Madrilènes avaient peut-être laissé passer leur chance. L’OL appliquait enfin les plans de son entraîneur dans le début de cette seconde période. Réveillère ouvrait dans le dos de la défense pour Delgado mais Gonalons, entré en lieu et place de Makoun, n’ajustait pas sa tentative de la tête (49e). Buteur contre Liverpool à Anfield, le milieu défensif ratait cette fois-ci le cadre d’un cheveu…

Pjanic expédie le Real en enfer

Pjanic, quant à lui, jouait toujours à l’envers et privilégiait une passe, finalement pour personne, plutôt qu’une frappe à l’entrée de la surface (52e). Govou ratait également une occasion en or sur un service de Källström, bien décalé sur la gauche par Delgado (53e). Les Rhodaniens étaient toutefois mieux et Lisandro, excentré sur la gauche, mettait Casillas à contribution sur un tir tendu (55e). L’Argentin, privé de ballons en première période car trop esseulé en pointe, se distinguait enfin avec sa toute première occasion. Malgré tout, Kaka répondait à la vitesse de la lumière mais plaçait un tir violent à gauche du but de Lloris (56e). Le Real avait en tout cas repris un ballon, confisqué par l’OL lors des dix premières minutes en seconde période.

Avec une épée de Damoclès sur la tête – un but suffisant à l’OL pour se qualifier -, Manuel Pellegrini lançait Van der Vaart en lieu et place de Granero dans la bataille (62e). Mais c’est bien l’OL qui se procurait l’opportunité suivante sur un coup franc de Pjanic qui réglait enfin la mire. Monté aux avant-postes, Cris était toutefois trop court pour le propulser au fond des filets (71e). Mais son partenaire bosnien avait fourbi ses armes et se transformait en héros des Gones à un quart d’heure du terme de la rencontre. Trouvé par Delgado, Lisandro glissait un ballon à Pjanic qui fusillait Iker Casillas à bout portant (75e). Au septième ciel, Lyon devait maintenant tenir pour enfin réaliser un véritable exploit en Ligue des champions. Un exploit à la hauteur de ceux réalisés par l’OM et le PSG dans les années 90, ou de Monaco dans les années 2000, respectivement contre le Milan pour le premier, contre le Real Madrid et le FC Barcelone pour le second ou contre Chelsea et le Real pour le dernier nommé. Incapable de franchir le dernier rideau défensif olympien dans les ultimes minutes, le Real sombrait dans son antre, corps et âme. Et ce dernier pourra longtemps se demander comment il a pu échouer à ce stade de la compétition pour la sixième année consécutive. Lyon, lui, peut déjà passer à autre chose et avancer au tour suivant!

football.fr

Lyon’s hopes of regaining the Ligue 1 title suffered a blow as they were held to a goalless draw by struggling Boulogne.

Six wins from seven games had pulled Claude Puel’s side back into contention but they are a point behind leaders Bordeaux having played three games more.

The hosts, who are 10 points from safety, had much the better of the early stages.

In the first minute Olivier Kapo released Alexandre Cuvillier for a shot that was blocked by Lyon keeper Hugo Lloris.

Captain Gregory Thil then dribbled past Jean-Alain Boumsong and sent in an effort that skimmed the corner of the net.

Lloris kept Lyon level in the 20th minute when Dorian Leveque and Kapo combined to set up Cuvillier, whose close-range shot was superbly blocked by the keeper.

The visitors’ first opening came 10 minutes from half-time when Jean-Francois Bedenik had to be alert to punch away Michel Bastos’ fierce effort.

It was Bedenik’s turn to save his side nine minutes after the break when Jean II Makoun freed Mathieu Bodmer but he could not convert the one-on-one opportunity.

Boulogne raced down the other end and Kapo looked to have beaten Lloris with an acrobatic volley but the ball just dropped the wrong side of the post.

Chances were coming for both sides now and Kim Kallstrom’s rocket forced Bedenik into the save of the night just after the hour mark.

Bastos then tested the keeper from a free-kick while the lively Cuvillier drew another block from Lloris.

What proved to be Lyon’s last and best opportunity came five minutes from time. Miralem Pjanic found space in the area and beat Bedenik but Laurent Agouazi cleared off the line.

The night ended on a sour note for the hosts when Yoann Lachor was shown a second yellow card for dissent.

ESPN soccernet.com

Les Lyonnais s’en sortent très bien! Bougé à Boulogne-sur-Mer, samedi soir pour le compte de la 27e journée de Ligue 1, l’OL a arraché un point lors d’un match nul vierge de but (0-0). Les Nordistes auront pourtant eu de nombreuses occasions devant les buts de Lloris. Les hommes de Claude Puel, après 4 victoires consécutives toutes compétitions confondues, manquent de prendre provisoirement la tête à quelques jours de leur déplacement à Madrid pour leur 8e de finale retour de la Ligue des champions.

L’OL n’a finalement qu’un visage, celui bien pâle qu’il offre régulièrement en Ligue 1. Les rares sursauts, en Ligue des champions notamment, ne sont que feu de paille. Ce Lyon version Claude Puel reste bien médiocre dans la production offensive. Et contrairement aux premières victoires de l’année, les coéquipiers de Cris n’ont pas arraché une victoire chanceuse à Boulogne-sur-Mer (0-0), samedi soir dans le cadre de la 27e journée de Ligue 1. Avant de se déplacer à Madrid, pour le huitième de finale retour de la Ligue des champions, les Gones manquent de doubler provisoirement Bordeaux, après 6 victoires lors des 7 derniers matches de championnat.

Les absences de Toulalan, Lisandro et Pjanic au coup d’envoi, préservés sur le banc de touche, se sont largement fait sentir. A la construction du jeu, c’est Bodmer qui retrouvait sa place dans le onze de départ, accompagné par Källström et Makoun. Celui qui avait débuté la saison en défense centrale était clairement à court de rythme, incapable d’inspirer les siens. Il faut dire que peu de coéquipiers l’aidaient dans sa tâche, Govou étant de nouveau lent sur son aile droite. Seul Bastos se démenait sur son côté, même si l’état de la pelouse l’handicapait. Sur phases arrêtées, le Brésilien apportait toutefois le danger, mais Bédénik veillait au grain.

Boulogne avec envie

Peu inquiétés défensivement, les hommes de Laurent Guyot auront donc bien combiné dans le camp adverse. Avec qualité mais sans réalisme. Marcq ouvrait les hostilités d’une belle frappe de 20 mètres passée tout proche de la lucarne de Lloris (12e). Le gardien des Bleus devait ensuite jaillir devant Cuvillier, servi d’une talonnade par Kapo (20e). Le Chilien Lorca, en pointe dans le 4-3-3 du jour (une défense à 5 est généralement utilisée), se chargeait ensuite d’un coup franc à 20 mètres mais Lloris s’envolait de nouveau (32e). De l’envie, l’USBCO en avait, contrairement à l’OL.

Bougés à la mi-temps par Claude Puel, comme l’attestait Aly Cissokho au micro de Foot +, les visiteurs rhodaniens se montraient enfin entreprenants dans le camp adverse, trouvant même l’espace pour frapper. Bodmer s’appuyait sur Makoun mais manquait son face à face devant Bédénik (54e). Gomis trouvait l’ouverture mais en position de hors-jeu, signalé par l’arbitre assistant (56e). Enfin, Källström s’essayait de loin et obligeait le portier adverse à une belle parade (63e). Cette seconde période était bien plaisante puisque, s’ils prenaient plus de risques, les Lyonnais laissaient aussi des espaces.

M. Ledentu gâche la fin

Le ballon voyageait ainsi d’une surface à l’autre et les Nordistes manquaient encore de battre Lloris. Une énorme occasion voyait Kapo rater le cadre sur un coup franc de Cuvillier dévié de la tête par Marcq (55e). Bien servi par-dessus de la défense par le nouvel entrant Yatabaré, Cuvillier ne cadrait toujours pas (66e), quelques secondes après avoir été tout proche de reprendre un tir de Lévêque (65e). Puel procédait aussi à ses remplacements, envoyant Delgado et Lisandro sur le pré à la place de Govou et Bodmer. L’Argentin, placé en soutien de Gomis, se procurait son occasion, mais Bédénik faisait la loi (76e).

La fin de match fut ensuite marquée par une erreur inacceptable de M. Ledentu. Agouazi contrait une passe lyonnaise et le ballon revenait à Bédénik, qui se saisissait du cuir. A la surprise générale, l’arbitre sanctionnait les locaux d’un coup franc indirect dans la surface pour une passe volontaire au gardien complètement imaginaire. Et si Pjanic frappait dans le mur, pour éviter un nouveau scandale d’arbitrage, les Boulonnais manifestaient leur mécontentent. M. Ledentu sévissait à plusieurs reprises et excluait même Lachor (92e). Quelques secondes plus tard, Marcq décalait Cuvillier, qui ne cadrait pas cette dernière grosse opportunité (94e). La “Libé” pouvait toutefois acclamer ses protégés, toujours avant-derniers, avec 9 points de retard sur le premier non relégable.

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Lyon maintained their impressive charge up the Ligue 1 table tonight with victory over lowly Nice at Stade Gerland.

Les Gones had been beaten 4-1 by their opponents earlier in the season, but gained revenge thanks to a Lisandro Lopez strike and an own goal from Onyekachi Apam.

The win ensures Lyon remain unbeaten in the league in 2010 as they close the gap on leaders Bordeaux to just two points.

It took just 10 minutes for the hosts to go in front with Miralem Pjanic flicking the ball to Lopez, who smashed a volley beyond the reach of David Ospina.

The Nice goalkeeper prevented his side going further behind on the half-hour mark, turning away a low strike from Michel Bastos.

Lopez fired wide of the mark minutes later as Lyon continued to press forward in numbers, while Jean Makoun wasted another opening before the interval when he also pushed the ball past the post following a swift counter-attack.

Nice at least put up a fight after the restart and home goalkeeper Hugo Lloris made his first save from Loic Remy’s left-footed drive.

Remy had another chance to level the scores after 63 minutes, heading Chaouki Ben Saada’s corner inches over the bar.

The visitors were proving a handful for Lyon and Lloris was called upon to make an superb finger-tip save to keep out a fierce shot from Ben Saada in the 77th minute.

Lyon hit back in the dying minutes and Bafetembi Gomis should have done better with an unmarked header which he directed high of the mark.

But their late pressure paid off in stoppage time when Apam’s attempts to cut out a cross from Mathieu Bodmer to Gomis resulted in the defender turning the ball into his own net.

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Vainqueurs de Nice 2-0 grâce à un but de Lisandro à la dixième minute et une réalisation d’Apam contre son camp dans le temps additionnel, samedi lors de la 26e journée de Ligue 1, les Lyonnais grimpent provisoirement à la deuxième place du classement, à deux longueurs de Bordeaux. C’est la quatrième victoire consécutive, toutes compétitions confondues, du club rhodanien qui a engrangé 19 points sur 21 possibles en championnat depuis le début de l’année 2010. Le film du match

Et si l’OL inquiétait Bordeaux en cette fin de saison? Alors que le leader compte deux matches en moins (le déplacement au Mans, dimanche, étant annulé en raison de la météo), la formation de Claude Puel ne pointe plus qu’à deux points des hommes de Laurent Blanc. Lors de la réception de Nice ce samedi soir, dans le cadre de la 26e manche du championnat, les Lyonnais ont enchaîné leur 4e victoire consécutive, la 8e en 11 sorties en 2010, toutes compétitions confondues. Toulalan et ses coéquipiers ont même ajouté la manière aux résultats, à la grande satisfaction de leurs supporters.

Pjanic étincelant

Comme la semaine dernière lors de la large victoire à Sochaux (0-4), les Gones auront rapidement ouvert la marque pour se faciliter la suite des événements. Michel Bastos avait inscrit un triplé à Bonal, mais fut moins en réussite. Face aux Aiglons, c’est Miralem Pjanic (remplaçant il y a 6 jours) qui fut étincelant. De nouveau titulaire dans le 4-3-3 de Claude Puel, avec Toulalan et Makoun dans l’entrejeu et derrière le trio Govou-Lisandro-Bastos, l’international bosnien s’est complètement lâché, n’hésitant pas à faire admirer sa technique, enfin, dans les 30 derniers mètres.

L’ancien Messin régalait Gerland d’un sombrero côté droit, avant de centrer. Govou et Bastos manquaient de justesse et rataient cette première opportunité (7e). Puis au terme d’une touche jouée sur la droite, Réveillère lançait Pjanic dans la surface, dont le centre puissant devant le but était repris victorieusement par Lisandro (1-0, 10e). Les protégés de JMA ont ensuite complètement maîtrisé les débats, enchaînant de bonnes combinaisons dans le camp de Niçois obligés de se recroqueviller et de balancer des longs ballons inutiles.

Mais les Gones manquaient de précision dans le dernier geste. Lisandro et Makoun se gênaient dans la surface au duel avec Civelli (29e), puis Bastos manquait complètement sa frappe en force, le ballon mourant même en touche (30e). Le Brésilien servait dans le trou Makoun, qui ne cadrait pas non plus (40e). Michel Bastos repassait côté gauche après la mi-temps, mais les Lyonnais n’avaient plus l’inspiration nécessaire pour doubler la mise. Solides défensivement avec sa charnière Cris-Boumsong, les locaux géraient la situation.

Lloris assure

Vainqueurs de Lorient (1-0), le week-end dernier, après avoir connu une disette de succès durant plus de deux mois, les hommes de Didier Ollé-Nicole (encore sur la sellette) n’ont quasiment rien montré d’efficace offensivement. Dans le 4-3-3 habituel (parfois légèrement modifié en 4-2-3-1), Bagayoko fut inexistant à la pointe. Le Malien, cherché dans les airs, était muselé par les défenseurs adverses et cédait sa place dès la pause, par Mouloungui, afin de donner plus de vitesse à l’attaque. Rémy et Ben Saada en manquaient sur les ailes. Le Bleu formé chez les Gones n’a jamais su se mettre en évidence, tandis que le Tunisien réveillait les siens, d’une belle frappe de 25 mètres que Lloris déviait en corner (76e).

Mounier était ensuite lancé dans la bataille pour le dernier quart d’heure, à la place de Sablé, mais l’autre ancien pensionnaire du centre de formation de l’OL n’a pas bouleversé l’issue du match. Pour donner un peu plus d’ampleur méritée au résultat, les Lyonnais allaient doubler la mise dans le temps additionnel. Entré à la place de Lisandro (86e), Gomis était à la réception d’un centre de Bodmer, qui avait relayé Pjanic (80e). L’ancien Stéphanois manquait le cuir mais Apam propulsait du genou le ballon au fond de ses filets (92e). Le Gym, toujours premier non relégable avec 6 unités de sursis, devra impérativement prendre des points contre des adversaires directs, Nancy et Le Mans, lors des deux prochaines journées.

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