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Lyon climbed into the third and final Champions League spot with one Ligue 1 game remaining by seeing off Monaco at Stade Gerland.
Miralem Pjanic opened the scoring after 28 minutes after a slow start, and Bafetimbi Gomis doubled the lead three minutes after the break.
Les Gones dominated the second half and were repeatedly denied by the impressive Stephane Ruffier, but finally added a third through Lisandro Lopez three minutes from the end.
The win lifted them above Auxerre into third and left them knowing a win on Saturday against Le Mans, who are already relegated, would take them into the Champions League.
After an uneventful first 24 minutes, Lyon suddenly sprang to life and created three chances in quick succession, first Gomis heading Aly Cissokho’s cross on to Michel Bastos, who volleyed wide from a good position.
Then Lisandro advanced into the penalty area, beating Francois-Joseph Modesto, before shooting narrowly wide.
The opener came soon after, though, as Cris flicked on a Bastos corner and Pjanic was on hand to volley past Ruffier.
The hosts had another chance six minutes before the break but Ruffier did well to keep out Gomis’ solo effort.
Three minutes after the restart, Bastos was released down the right. He found Pjanic who in turn flicked on to Gomis for an easy finish from close range.
As the half progressed, Ruffier saved from Ederson before producing a stunning reflex stop to deny Gomis.
After 66 minutes he kept out a Bastos free-kick, then two minutes later made a point-blank save from Lisandro’s header.
In the last 10 minutes, Yannick Sagbo headed a rare Monaco chance narrowly over, before Ruffier again saved, this time from an 18-yard Bastos strike.
But Lyon did get a third three minutes from time, when Lisandro, set free by Ederson, feinted past Ruffier and finishing.
Calé entre les multiples annonces des listes pour la Coupe du monde 2010 et la dernière levée du championnat, le match en retard de la 34e journée de Ligue 1 s’est finalement soldé par un beau succès de l’Olympique Lyonnais sur l’AS Monaco (3-0). Transparents pendant pratiquement 75 minutes de jeu, les joueurs de la Principauté ont pris un bouillon sur des réalisations de Pjanic (28e), Gomis (49e) et Lisandro (87e). Et les Rhodaniens se glissent sur le podium de la Ligue 1 devant Auxerre, avant la 38e et dernière levée qui se tiendra samedi soir.
Il ne fallait sans doute pas compter sur l’AS Monaco pour contester l’Olympique Lyonnais, ce mercredi, à l’occasion de la 34e journée de Ligue 1. Déjà incapables de développer du jeu pour une finale de Coupe de France contre le PSG, les joueurs de la Principauté ont en effet débarqué au Stade de Gerland la tête ailleurs. Et, si les Auxerrois pourront toujours se plaindre d’une ASM qui n’a pas franchement joué le jeu pour les places au sommet du classement, l’OL a pour sa part eu le mérite de se rassembler avant une rencontre capitale pour une place en Ligue des champions la saison prochaine.
Des joueurs qui, pour certains, devaient également digérer l’annonce de leur sélectionneur respectif en vue de la Coupe du monde 2010. Envoyés au paradis, comme Lloris, Toulalan et Réveillère, Govou avec les Bleus et Bastos avec le Brésil, ou en enfer, comme Lisandro avec l’Argentine, Cissokho et Gomis avec Raymond Domenech, les Lyonnais ont en tout cas agi en véritables professionnels. Une qualification européenne était à ce prix et cette rencontre, même mal insérée dans le calendrier, était le moment ou jamais pour l’Olympique Lyonnais de s’asseoir sur un strapontin pour la Ligue des champions.
Lyon plus joueur que l’ASM…
Le club rhodanien n’a donc pas laissé passer sa chance de monter sur le podium de la Ligue 1, juste devant Auxerre, à une journée du terme. Avec la réception du Mans lors de la prochaine levée, l’OL a également pris une grosse option, peut-être définitive, alors que les Icaunais se déplaceront à Sochaux la semaine prochaine. Ce mardi, et c’est pour dire, Lyon, qui n’est pas réputé pour “envoyer” du jeu sous les ordres de Claude Puel, a donc pris le meilleur sur une ASM qui voulait sans doute honorer l’un de ses anciens techniciens en restant dans sa moitié de terrain. Jamais dans le bon sens de la marche, les Asémistes n’attendaient que 18 minutes de jeu pour prendre l’eau. Auparavant, l’Argentin Lisandro, déjà le visage fermé, avait raté une première tête sur un centre de Réveillère dans un couloir droit que ce dernier pourrait bien arpenter lors du Mondial en Afrique du Sud (13e).
A coeur de montrer sa bonne tenue avant l’annonce des 23 Tricolores, le latéral droit était ensuite imité par son pendant gauche, Aly Cissokho. L’ancien Portuan, qui avait à coeur de prouver l’erreur du sélectionneur français de ne pas le convoquer, enroulait un centre qui retombait sur la tête de Gomis. Traînant une caravane sur la plupart de ses accélérations, l’ancien Stéphanois était pourtant bien précieux pour remiser un ballon sur Bastos. Un international brésilien qui ne cadrait pas sa puissante volée (25e). Mais trois minutes plus tard, ce dernier se rattrapait avec un corner déposé sur la tête de Cris et repris de volée par Miralem Pjanic. Un Bosnien qui ne verra pas, et pour cause, le continent africain cet été, sa sélection s’étant faite sortir pendant les tours de barrages de la Coupe du monde. Dévié par le postérieur de Toulalan, le ballon fuyait les gants de Ruffier, sûrement portier n°5 dans l’esprit de Domenech après sa liste de 30 joueurs (28e).
Lisandro, la petite consolation
Absolument maître à bord de son vaisseau de Gerland, Lyon atteignait la pause sur cet avantage avant d’ajouter deux pions en seconde période. Bastos, lui, avait trouvé le montant gauche d’un portier monégasque encore bien seul pour défendre son propre but (45e). Et trois minutes seulement après le retour du vestiaire, la panthère Gomis, transformée en escargot depuis la saison passée, recevait une offrande de Pjanic sur un mouvement initié par Bastos (49e). Après 49 minutes de jeu, l’affaire s’était donc singulièrement compliquée pour une équipe qui n’avait visiblement pas l’intention de dépasser la ligne médiane. Dans un match sans enjeu, l’ASM n’y était pas et ne se lâchait même pas vers l’avant pour la beauté du spectacle. En revanche, Ruffier sauvait son camp sur une nouvelle opportunité de Gomis à bout portant (60e). Le dernier rempart azuréen claquait ensuite un coup franc de Bastos (66e), avant de récidiver devant Lisandro et sa tête des mauvais jours (69e).
Élu meilleur joueur de Ligue 1 mais non convoqué pour la Coupe du monde, comme le Marseillais Lucho (merci Maradona…), le buteur bénéficiait ensuite d’une ouverture en profondeur d’Ederson pour fixer et ajuster Ruffier tranquillement (87e). L’addition, même corsée, n’était que logique malgré deux occasions monégasques pour Sagbo (83e), de la tête, et Modesto (futur marseillais?), du pied, enfin presque si celui-ci avait réussi à toucher le ballon (87e). Troisième, Lyon devra maintenant finir le travail contre Le Mans. Mais avec ce qu’ils ont montré ce mercredi soir, ils en ont les moyens. Et Jean-Michel Aulas pourra alors dormir sur ses deux oreilles et enfin se réjouir d’avoir gagné 20 millions d’euros dans la balance, entre Valenciennes et Le Mans.
1. H.Lloris
20. A.Cissokho
13. A.Réveillère
3. Cris
6. K.Kallstrom
10. H.Ederson (8e)
17. J.Makoun
8. M.Pjanic
28. J.Toulalan
7. M.Bastos Fernandes
9. L.Lopez
5. M.Bodmer (88e)
18. B.Gomis
14. S.Govou (69e)
O Lyon empatou com o Valenciennes, no último sábado, por 2 a 2, e permaneceu na quarta posição na classificação geral do Campeonato Francês. Agora, o time se prepara para enfrentar o Monaco, em casa, pela partida adiada da 34ª rodada. Com 66 pontos, os Tricolores podem passar o Auxerre e assumir o terceiro posto. O jogo está marcado para essa quarta-feira, às 14h.
Ederson, titular no último jogo, acredita que a equipe tem de aproveitar a chance de ultrapassar o Auxerre e depender apenas das próprias forças para se garantir na Champions League do próximo ano. “Nós precisamos vencer de qualquer maneira. Se isso não acontecer, vai ficar muito complicado. Entraremos mais focados do que na última partida e vamos procurar aproveitar todas as chances que tivermos de matar o jogo, o que não aconteceu no fim de semana. O Mônaco tem uma ótima equipe, mas precisamos da vitória e vamos com tudo para cima deles em busca do nosso objetivo”, disse o camisa 10.
O jogador ainda comentou sobre o torneio continental e da importância da classificação. “Participar da Champions League sempre é a principal meta da nossa equipe, além de brigar por títulos, claro. Estivemos perto da grande final esse ano e queremos estar entre os melhores da Europa também na próxima temporada. Vamos fazer de tudo para chegar lá”, completou.
Lyon
H.Lloris
A.Cissokho
D.Lovren
A.Réveillère
J.Boumsong
K.Kallstrom
M.Gonalons
H.Ederson
L.Lopez (80e)
S.Govou
C.Delgado (80e)
Y.Tafer
M.Bastos Fernandes (68e)
B.Gomis
L’AS Monaco a mis fin à l’aventure de l’Olympique Lyonnais en Coupe de France, dimanche soir, au stade des 16e de finale. Les Monégasques se sont imposés 2 buts à 1, mais le but de l’égalisation signé Nenê sur penalty (50e) est entaché d’une simulation préalable. Auparavant, Jean-Alain Boumsong avait ouvert le score pour les Gones (45e), tandis que Chu-Young Park a donné la qualification aux siens dans le dernier quart d’heure (77e).
L’année 2010 avait pourtant bien démarré pour l’OL. Mais les Gones ont subi la loi de l’AS Monaco (2-1) au Stade Louis-II, dimanche soir, en 16e de finale de la Coupe de France. Les Rhodaniens pourront longtemps regretter le scénario du match, qui a vu le club de la Principauté égaliser sur un penalty imaginaire.
Une bonne première période
Le tirage au sort des huitièmes de finale ayant été effectué quelques instants auparavant, Monaco et Lyon savaient quel adversaire les attendait en cas de victoire. Avec un affrontement contre Bordeaux en ligne de mire, au Stade Chaban-Delmas, les deux équipes mettent vingt bonnes minutes pour se motiver. Mais lorsque Park déboule dans l’axe et arme une frappe tendue qui prend la direction de la lucarne de Lloris, lequel détourne le cuir d’une main ferme (23e), le match est lancé.
Car dans la foulée, les 22 acteurs se décoincent et offrent au public du Stade Louis-II une première période enlevée. Le ballon file d’un but à l’autre mais l’ASM, par l’intermédiaire de Puygrenier (24e) et Park (30e), se procure les meilleures opportunités. L’Olympique Lyonnais, qui manque d’ouvrir le score par Ederson sur un joli coup franc repoussé avec brio par Ruffier (26e), va finalement débloquer le tableau d’affichage juste avant la pause. Sur corner, Ederson sert Boumsong au premier poteau, qui décroise sa tête et trompe la vigilance de Ruffier (45e).
Nenê, la simulation et le penalty
Le club de la Principauté est assommé mais va revenir dans le match sur un coup de dé. Cinq minutes après le retour des vestiaires, Nenê s’effondre au contact de Govou dans la zone de vérité. Le Brésilien, après un léger contact, repose son pied d’appui à terre avant de tenter la simulation, à grands renforts de cris et de gesticulations. Avec réussite. M. Malige se laisse abuser et désigne le point de penalty. Nenê se fait “justice” lui-même (50e), et l’OL peut l’avoir mauvaise…
En colère, les Gones perdent le fil de la rencontre. Les Monégasques multiplient quant à eux les occasions de doubler la mise. Park est en feu et se heurte deux fois à Lloris (56e et 60e). Les Lyonnais prouvent une dernière fois que sommeille en eux le potentiel d’un candidat au titre, lorsqu’ils font la différence sur trois touches de balles pour mettre Källström en position idéale. Mais le Suédois rate le cadre (71e).
Park fait le break
Monaco, qui se fait de plus en plus pressant, finit par prendre logiquement l’avantage. Modesto et Nenê dédoublent sur l’aile droite et le premier délivre un centre au second poteau pour l’inévitable Park. Le Coréen profite d’une sortie hésitante de Lloris pour se jeter et inscrire le deuxième but de l’ASM (77e). En réussite, le club de la Principauté et Nenê ratent pourtant le break dans la foulée (80e).
Le score en reste là, mais le visage fermé de Claude Puel en dit long sur le sentiment d’injustice ressenti par les Rhodaniens. Le penalty a été assurément le tournant du match. Mais l’OL pourra surtout regretter d’avoir manqué de tranchant, notamment en seconde période. Une erreur d’arbitrage, aussi écoeurante soit-elle pour ceux qui la subissent, ne permet pas à telle ou telle équipe de gagner à elle seule un match…
Quel triste Olympique Lyonnais ! Opposés à l’AS Monaco au Stade Louis-II pour le compte de la 18e journée de Ligue 1, les Rhodaniens n’ont pu qu’accrocher le point du résultat nul (1-1) contre une formation de la Principauté qui regrettera longtemps ses occasions manquées. Pourtant, l’OL avait ouvert la marque par Bastos (22e) mais Park a finalement égalisé sur une volée parfaite (34e). Et Lyon a oublié son panache de ses années glorieuses pour aller chercher un succès. Dans ces conditions, l’OL et ses supporters peuvent se satisfaire de ce point du nul et même se féliciter d’une excellente 4e place à dix points de Bordeaux. Les temps changent…
Avec la 14e défense de Ligue 1, que peut donc espérer l’Olympique Lyonnais dans ce championnat ? Certainement pas de concurrencer Bordeaux ou Marseille dans la quête d’un titre de champion de France. Dans un habituel 4-3-3 avec Lisandro en pointe, l’OL avait pourtant réussi à prendre l’avantage contre Monaco. Mais pour la 3e fois de la saison, Lyon s’est de nouveau fait reprendre par son adversaire d’un soir…
Lisandro, intermittent du spectacle
Absent contre Boulogne-sur-Mer mercredi soir après un choc avec Cédric Carrasso lors de la réception des Girondins de Bordeaux, Lisandro Lopez est pourtant le premier à se mettre en action dans cette ultime rencontre de la 18e journée. Au contact avec Puygrenier à l’entrée de la surface, l’Argentin se dégage sur son contrôle du droit avant de frapper du gauche au-dessus de la transversale (4e). L’entame de match est cependant bien à l’avantage des Lyonnais sur une pelouse qui ne leur a guère réussi lors des huit dernières années avec seulement deux succès pour un nul et cinq revers.
Organisé en 4-2-3-1 avec le seul Park en pointe, l’ASM évolue trop bas en première période pour contrarier le collectif lyonnais. Bastos sème alors la zizanie sur la gauche de l’attaque rhodanienne mais son centre en retrait au second poteau ne trouve pas preneur (9e). Dans l’entrejeu, Gonalons, préféré à Toulalan (de retour après une blessure aux adducteurs), règne en maître en compagnie de Makoun. Nenê essaie bien de perforer sur l’aile droite mais se fait reprendre après une course de 60 mètres par un Boumsong appliqué et concentré en couverture (12e). Au quart d’heure de jeu, Claude Puel et ses hommes contrôlent le match.
Évoluant essentiellement dans leur propre moitié de terrain, les joueurs de la Principauté laissent les Gones développer leur jeu et Gonalons prend ses responsabilités sur une frappe lointaine complètement dévissée (17e). Celle-ci a au moins le mérite de faire sortir une défense monégasque craignant les accélérations de Lisandro en pointe. Fautif sur un tacle mal négocié sur Nenê, Gonalons permet à Mollo de s’excentrer côté gauche pour le premier centre devant le but gardé par Lloris (20e). Le portier lyonnais n’est toutefois pas inquiété et passe un début de soirée tranquille. Dans le but adverse, Stéphane Ruffier n’est pas rassuré quand Michel Bastos se présente pour frapper un coup franc à 35 mètres. Le Brésilien trouve ainsi l’ouverture sur un missile sol/air du gauche du plus bel effet (22e). La réplique des Asémistes est trop timide. En crochetant Cris, Park est ainsi bloqué par Boumsong après un dribble trop long (24e).
Park, le prince de Louis-II
Après la demi-heure de jeu, Monaco se décide enfin à passer la seconde pour inquiéter Hugo Lloris. L’ancien Niçois dégage d’abord un corner des deux poings (30e) avant de voir Makoun le suppléer d’un bon coup de tête, toujours sur corner (31e). L’OL recule mais l’ASM est encore trop imprécise dans ses offensives. La rencontre prend en tout cas une autre envergue et Bastos, passé sur le flanc droit, enroule un centre parfait pour la déviation de Cris au second poteau. Makoun se jette pour placer une tête plongeante mais Ruffier est à la parade (32e). Calmée mais loin d’avoir abdiqué, la formation monégasque se relance sur une erreur d’appréciation d’Hugo Lloris, décidé à boxer un ballon sur un coup franc de Nenê. Le Rhodanien rate son intervention et Traoré remise pour Park qui ajuste une volée parfaitement équilibrée et gagnante (35e).
Spectaculaire à défaut d’être réellement méritée, cette réalisation a au moins le mérite de remettre les deux équipes sur un pied d’égalité dans le jeu. Monaco se sent pousser des ailes alors que l’OL craint encore des errements défensifs, entrevus notamment à Lille (4-3) ou contre l’OM à Gerland (5-5). Et Monaco d’appuyer là où ça fait mal avec des accélérations tour à tour de Nenê et Mollo sur l’aile gauche. Alonso décoche une frappe dans un angle fermé mais le portier international est cette fois-ci à la parade en protégeant son premier poteau (40e). Et les techniciens monégasques sont de retour à l’image d’un Yohan Mollo qui tente un coup du foulard. A défaut de le réussir, le milieu gauche, en jambes, prend des risques et tente beaucoup de choses.
Monaco méritait mieux…
Fébrile, la défense lyonnaise se met en danger sur le moindre pressing monégasque. Après la pause, Jean II Makoun et Aly Cissokho perdent des ballons faciles devant Park Chu-Young qui ne trouve toutefois pas ses partenaires dans l’intervalle. En face, l’OL répond toujours par coups de pied arrêtés mais Ruffier est vigilant sur le centre-tir de Pjanic (50e). Yohan Mollo frappe du gauche à l’angle de la surface mais Hugo Lloris se couche en deux temps. Les latéraux rhodaniens peinent en tout cas sur chaque offensive esquissée par Nenê et Mollo, les deux trublions monégasques. Et l’ancien joueur de l’Espanyol se montre encore dangereux sur un coup franc excentré côté gauche (54e). A l’heure de jeu, l’ASM a pris un ascendant mais pas au tableau d’affichage.
Avec Park, le danger n’est jamais très loin et Mollo est tout proche de propulser le ballon au fond des filets sur une tête plongeante (65e). Défensivement, l’OL a plongé depuis l’égalisation. Offensivement, l’ASM est incapable d’en profiter. Mollo est trop court au premier poteau (66e), puis frappe au-dessus de la transversale (67e). Les vagues s’enchaînent sur le but lyonnais, sans succès… Gonalons place une semelle sur Alonso mais Nenê, malgré ses dix buts en championnat, est incapable de doubler la mise sur le coup franc (75e).
Sept fois champion de France, l’OL se décide alors à temporiser avec le retour de Toulalan en lieu et place de Bastos. Au diable donc la victoire, priorité à l’assise défensive. Pour la forme, Lyon se procure les trois dernières occasions du match mais ni Cris, de la tête (80e), ni Lisandro, à deux reprises (82e, 87e), ne troublent la sérénité monégasque. Avec dix points de retard sur Bordeaux, Lyon a définitivement perdu de son lustre d’antan…
Olympique Lyon further undermined their chances of recapturing the Ligue 1 title after a 1-1 draw at Monaco dropped them 10 points behind leaders Girondins Bordeaux on Sunday.
Seven-times champions Lyon, who lost their crown to Bordeaux last May, started well, Brazilian midfielder Michel Bastos putting them ahead with a super angled free kick on 22 minutes.
The home side, however, earned a share of the points when Korean forward Park Chu-young volleyed home a Sebastien Puygrenier headed pass 12 minutes later.
Monaco were clearly the better team in the second half, Lyon looking only a pale shadow of the side who ruled France for seven seasons.
Three goals in the first half an hour against Le Mans gave Lille their fifth win a row and lifted them up to third in the Ligue 1 table.
They might have had more had Florent Balmont not missed a 14th minute penalty, moments after Aurelien Chedjou had put them in front with a header. Gervinho added a second in the 27th minute before Eden Hazard completed the scoring with only 29 minutes gone.
Roy Contout’s late leveller earned Auxerre a point against Toulouse – their third Ligue 1 draw in a row.
Luan had given Toulouse the lead, somewhat against the run of play, with his first Ligue 1 goal as they sought to recover from their midweek Europa League exit. Les Violets looked like holding on until Etienne Didot was dismissed for a second yellow five minutes from time.
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