You are currently browsing the daily archive for March 10, 2010.

Olympique Lyonnais scuppered Real Madrid CF’s dream of reaching the UEFA Champions League final at their Santiago Bernabéu home, Miralem Pjanić’s late strike taking the French side into the quarter-finals.

Cristiano Ronaldo had given the home team – who have now fallen at this stage six seasons running – the perfect start as they looked to overturn a 1-0 first-leg deficit, cancelling that out inside six minutes. However, Lyon emerged for the second half transformed and passed up several presentable openings to level on the night. In the 75th minute Pjanić made no mistake, rounding off an incisive move with a thumping finish and Madrid could find no reply.

Manuel Pellegrini had called on Madrid’s fans to produce a similar atmosphere to that which propelled Los Merengues to a comeback victory against Sevilla FC at the weekend and the home support duly obliged in the opening stages. The team themselves responded as Ronaldo raced onto Guti’s left-footed pass from deep to outpace Cris and slide a low shot through the legs of Hugo Lloris for his seventh goal in the competition this season.

The nine-time European champions streamed forward in search of more, Kaká seeing his effort from the left saved by Lloris and Ronaldo heading over when well placed. Midway through the half the home side came closer still to doubling their lead. Another pass through the heart of the visiting defence from Esteban Granero set Gonzalo Higuaín bearing down on goal and the Argentinian evaded the on-rushing Lloris only to shoot against the inside of the post with the angle closing. Minutes later, the goalkeeper produced a splendid one-handed stop to deny Higuaín again.

Despite being on the back foot for much of the opening period Lyon – who secured draws on their previous two visits here – did manage to threaten the home goal on occasion. Jérémy Toulalan swerved an effort wide while first-leg scorer Jean II Makoun mis-hit his effort from Sidney Govou’s centre. Claude Puel nevertheless looked to stem Madrid’s attacking flow by introducing Kim Källström and Maxime Gonalons at the break and the latter almost made an immediate impact when he reached Govou’s cross only to head over. Encouraged, Lyon pressed further, Govou lashing high and wide when given time and space.

Les Gones were playing with increasing belief and the chances continued to come, the previously quiet Lisandro stinging the fists of Iker Casillas with a dangerous drive from distance. Madrid countered as the quick-footed Ronaldo provided for Kaká to shoot wide but the momentum had already shifted and the visitors took advantage with 15 minutes left. In a slick move, Källström and César Delgado worked the ball in from the left to the feet of Lisandro and the Argentinian’s first-time lay-off found Pjanić to blast in at Casillas’s near post.

With the previous vociferous home support stunned into silence, Lisandro could have made the night all the sweeter for Lyon had he not sliced wide. The visiting supporters paid little heed, however, as they cheered their team into the last eight for the first time since 2005/06.

uefa.com

Ils l’ont fait et c’est énorme! Vainqueur du 8e de finale aller de Ligue des champions contre le Real Madrid à Gerland (1-0), Lyon est parvenu à décrocher un résultat nul capital (1-1) sur la pelouse de Bernabéu grâce à Pjanic (75e). Pourtant, Cristiano Ronaldo avait rapidement ouvert la marque pour les Merengues (6e). Mais l’OL, déjà vainqueur de ses deux précédentes confrontations contre le Real en phases de poules de C1, s’est donc ouvert les quarts de finale de l’épreuve en éliminant l’un des favoris à la succession du Barça. Et Bernabéu, stade où se disputera la finale, a perdu son Real Madrid. Un sévère écueil pour Pellegrini, Ronaldo et Kaka, recrutés à prix d’or pour atteindre cet objectif.

Pour fêter ses 108 ans et après avoir dépensé plus de 250 millions d’euros pour recruter Cristiano Ronaldo, Kaka ou encore Raul Albiol lors de la précédente intersaison, le Real Madrid ne décrochera pas une dixième Ligue des champions en 2010. La faute à un Olympique Lyonnais qui a réalisé un véritable exploit sur la pelouse des Galactiques. Un Stade Santiago-Bernabéu qui perd également son équipe alors que la finale se disputera le 22 mai 2010 dans cette enceinte. Pourtant, après une première période ratée, on ne donnait pas cher du 4-3-3 de l’Olympique Lyonnais avec Delgado sur la gauche, pour remplacer Michel Bastos, et Lisandro en pointe face au 4-3-3 des étoiles de Manuel Pellegrini avec un trident offensif Granero-Kaka-Ronaldo pour épauler Higuain en attaque. Guti était même appelé en renfort pour évoluer un cran plus bas et pallier l’absence de Xabi Alonso pour suspension.

Une première période étouffante

Dès la première minute de jeu, le Real s’offrait d’ailleurs la première occasion mais une belle intervention de Lloris, qui fermait l’angle sur la gauche de sa surface devant Kaka, empêchait le Brésilien d’ouvrir la marque. Ne pressant pas le porteur du ballon, Lyon s’exposait aux fulgurances du Real et payait même la note après seulement six minutes de jeu. Guti, en jambes après sa prestation contre Séville lors de l’ultime journée de Liga (3-2), ouvrait dans la profondeur pour Cristiano Ronaldo, qui prenait tout le monde de vitesse. D’une frappe croisée, le Portugais glissait le ballon entre les jambes de Lloris et remettait les deux équipes à égalité sur l’ensemble des deux matches (1-1).

Homme le plus sollicité en début de match, le portier de l’équipe de France devait encore s’employer après un numéro de Kaka devant un Pjanic dépassé par un petit pont. Le portier international captait tout de même le cuir sur le tir insuffisamment enroulé par le meneur de jeu merengue (10e). Auteur du premier but, “CR9” ratait quant à lui le KO d’une tête trop enlevée consécutive à un corner côté droit de Granero (12e). Contraint d’évoluer bas pour contenir la ligne offensive madrilène et la vitesse balle aux pieds de Ronaldo, l’OL ne tenait pas suffisamment le ballon pour contester l’hégémonie madrilène. Avec une charnière centrale Boumsong-Cris trop lente, il était impossible pour les Lyonnais d’évoluer trop haut, ce qui aurait eu pour conséquence de libérer des espaces dans lesquels le club de la capitale espagnole se serait fait un plaisir de s’engouffrer. Après 18 minutes de jeu, seule une frappe de Toulalan, trop enroulée, s’échappait du cadre de Casillas. Et quand le portier espagnol devait intervenir, “San” Iker le faisait proprement au devant de Lisandro, parti à son encontre (20e). “Licha Blanca” exhortait quant à lui ses partenaires à se projeter plus rapidement vers l’avant pour exploiter le moindre espace.

Ronaldo à la vitesse de la lumière

En face, le Real ne se posait pas les mêmes questions et jouait avec ses armes. Et Lyon était tout heureux de s’en sortir indemne, pliant mais ne rompant pas. D’abord sur une ouverture de Granero pour une frappe d’Higuain sur le poteau alors que Lloris était sorti, laissant le but absolument vide à l’avant-centre madrilène (26e). Ensuite sur un tir du même Argentin, alerté par Kaka à l’entrée de la surface, mais cette fois-ci détourné par l’ancien Niçois, qui se rattrapait d’une entame de match moyenne (28e). Acculé sur son but, Lyon retardait l’échéance malgré les permutations incessantes de Granero et Ronaldo sur les ailes et les services millimétrés de Kaka et Guti. Lyon n’évoluait qu’en contres et manquait pourtant de peu l’égalisation sur un service de Govou et une frappe gâchée de Makoun au point de penalty (35e). Le Real, dominateur, ne parvenait pas à prendre un avantage plus conséquent. Sur un nouveau service de Granero, côté droit, Higuain ratait encore le cadre sur une tête du point de penalty (40e). Toulalan cherchait pour sa part à alerter Pjanic mais le Real tenait le choc au niveau défensif jusqu’au repos.

Avec un Claude Puel souhaitant gagner en maîtrise après le repos, Lyon avait toujours la possibilité de faire trembler le grand Real malgré un score en sa défaveur. Largement dominateur lors du premier acte, le Real n’avait pour autant qu’un but d’avance dans son enceinte. Et maladroits malgré une kyrielle d’occasions, les Madrilènes avaient peut-être laissé passer leur chance. L’OL appliquait enfin les plans de son entraîneur dans le début de cette seconde période. Réveillère ouvrait dans le dos de la défense pour Delgado mais Gonalons, entré en lieu et place de Makoun, n’ajustait pas sa tentative de la tête (49e). Buteur contre Liverpool à Anfield, le milieu défensif ratait cette fois-ci le cadre d’un cheveu…

Pjanic expédie le Real en enfer

Pjanic, quant à lui, jouait toujours à l’envers et privilégiait une passe, finalement pour personne, plutôt qu’une frappe à l’entrée de la surface (52e). Govou ratait également une occasion en or sur un service de Källström, bien décalé sur la gauche par Delgado (53e). Les Rhodaniens étaient toutefois mieux et Lisandro, excentré sur la gauche, mettait Casillas à contribution sur un tir tendu (55e). L’Argentin, privé de ballons en première période car trop esseulé en pointe, se distinguait enfin avec sa toute première occasion. Malgré tout, Kaka répondait à la vitesse de la lumière mais plaçait un tir violent à gauche du but de Lloris (56e). Le Real avait en tout cas repris un ballon, confisqué par l’OL lors des dix premières minutes en seconde période.

Avec une épée de Damoclès sur la tête – un but suffisant à l’OL pour se qualifier -, Manuel Pellegrini lançait Van der Vaart en lieu et place de Granero dans la bataille (62e). Mais c’est bien l’OL qui se procurait l’opportunité suivante sur un coup franc de Pjanic qui réglait enfin la mire. Monté aux avant-postes, Cris était toutefois trop court pour le propulser au fond des filets (71e). Mais son partenaire bosnien avait fourbi ses armes et se transformait en héros des Gones à un quart d’heure du terme de la rencontre. Trouvé par Delgado, Lisandro glissait un ballon à Pjanic qui fusillait Iker Casillas à bout portant (75e). Au septième ciel, Lyon devait maintenant tenir pour enfin réaliser un véritable exploit en Ligue des champions. Un exploit à la hauteur de ceux réalisés par l’OM et le PSG dans les années 90, ou de Monaco dans les années 2000, respectivement contre le Milan pour le premier, contre le Real Madrid et le FC Barcelone pour le second ou contre Chelsea et le Real pour le dernier nommé. Incapable de franchir le dernier rideau défensif olympien dans les ultimes minutes, le Real sombrait dans son antre, corps et âme. Et ce dernier pourra longtemps se demander comment il a pu échouer à ce stade de la compétition pour la sixième année consécutive. Lyon, lui, peut déjà passer à autre chose et avancer au tour suivant!

football.fr

Lyon

H.Lloris
A.Cissokho
A.Réveillère
J.Boumsong
M.Gonalons (46e)
Cris (c.)
J.Makoun
K.Kallstrom (46e)
M.Pjanic
H.Ederson (84e)
J.Toulalan
S.Govou
L.Lopez
C.Delgado
Entraineurs

a

March 2010
M T W T F S S
1234567
891011121314
15161718192021
22232425262728
293031  

RSS Football News

  • An error has occurred; the feed is probably down. Try again later.

Blog Stats

  • 35,069 hits