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Lyon were forced to settle for a point after narrowly failing to claim all three in a dramatic conclusion.
Gyan Asamoah had given Rennes a first-half lead, but Lisandro Lopez levelled before the interval.
And Bafetimbi Gomis’ superb effort hit the bar with three minutes remaining to leave the sides level and prevent Lyon going level on points with new Ligue 1 leaders Bordeaux.
Asamoah struck with his first touch of the ball just before the quarter-hour mark. Ismael Bangoura played in the Ghana striker who outfoxed Jean-Alain Boumsong and fired into the far corner.
Lyon went in search of an equaliser straight away and Jean Makoun set up defender Cris to volley narrowly wide from 25 yards before visiting keeper Abdoulaye Diallo made a stunning double save.
Cesar Delgado played in Miralem Pjanic, but Diallo blocked the Bosnia-Herzegovina midfielder’s close-range effort and then reacted superbly to save Michel Bastos’ follow-up.
But the pressure told three minutes before half-time as Lisandro’s free-kick deceived Diallo and found the net.
Lisandro saw a volley blocked on the line early in the second half before the game settled into a predictable pattern with few chances.
Rennes, encouraged by having frustrated their illustrious hosts for so long, launched a late charge for a winner and went close several times in the last 10 minutes.
Sylvain Marveaux and Samba Sow combined to set up Bruno Cheyrou, whose effort was superbly saved by Hugo Lloris.
And the France keeper was in action again soon afterwards to save Jires Kembo-Ekoko’s long-range effort and Fabian Lemoine’s drive, following Cris’ poor clearance, skimmed the post on its way to safety.
But they were unable to break through and almost paid the price for their adventure as Gomis’ instinctive volley was repelled by the woodwork and Lisandro’s free-kick deep into injury time was kept out by Diallo.
Face à sa bête noire, le Stade Rennais, l’Olympique Lyonnais a confirmé ses difficultés actuelles en partageant les points avec le club breton (1-1), en épilogue de la 15e journée de Ligue 1. Transparents en début de partie, les Gones ont subi l’ouverture du score par l’intermédiaire de Gyan (14e) avant que Lisandro n’égalise sur coup franc (42e). Si un vent de folie s’est levé en fin de partie, les Rhôdaniens ne sont pas parvenus à doubler la mise et laissent filer une occasion de revenir à hauteur de Bordeaux, en tête du championnat.
Du côté de Gerland, une réaction était attendue alors que le septuple champion de France n’a pas encore connu les joies de la victoire en novembre. Mais pour ne pas clore le mois automnal par une diète de succès, Lyon avait fort à faire en recevant une équipe qui ne lui réussit guère, le Stade Rennais. Depuis janvier 2005, le club breton oppose une résistance sans faille aux Gones et sur ses quatre dernières visites entre Saône et Rhône, les Rouge et Noir ont signé une victoire et trois matches nuls. En confiance face à l’OL, les hommes de Frédéric Antonetti, absent du banc pour cause de grippe A, le rappellent dès l’entame de match en prenant le meilleur sur leurs apathiques homologues.
Lisandro bien seul
A force de déjouer, Lyon se fait même punir lorsque Bangoura adresse un amour de ballon à Gyan dans le dos de la défense locale. L’attaquant ghanéen fixe Lloris et le crucifie d’une superbe frappe croisée qui heurte violemment le poteau avant de faire trembler les filets (0-1, 14e). L’histoire se répète et voilà Lyon condamné à réagir, à défaut d’agir. Sur le front de l’attaque, Lisandro semble bien seul aux côtés des peu inspirés Bastos et Delgado. L’Argentin, encore et toujours impressionnant de générosité, est au four et au moulin et remet les siens sur le droit chemin tout seul, comme un grand. Après avoir provoqué un coup franc, l’ancien buteur de Porto le transforme admirablement à quelques encablures du repos (1-1, 42e).
Avant ça, le dernier rempart rennais, Abdoulaye Diallo, 17 ans et néophyte au plus haut niveau, connaissait un baptême du feu plutôt agréable puisqu’il avait remporté son duel face à Pjanic (35e) et vu Cris et le Bosnien manquer la cible, respectivement sur une frappe lointaine (25e) et sur coup franc (29e). Au retour des vestiaires, les occasions de but laissent la place à une âpre bataille du milieu de terrain. Claude Puel tente bien de dynamiser ses troupes en lançant Govou et Gomis (61e) mais Lyon peine à se montrer dangereux.
Diallo, des débuts décisifs
Le calme est plat et les 22 acteurs du soir se dirigent vers un partage des points. C’est sans compter des dernières minutes très animées qui voient les deux équipes s’offrir un festival d’occasions. Lloris confirme sa forme resplendissante en barrant la route d’un tir de Cheyrou (82e), avant que Lemoine ne manque le cadre à la suite d’une mauvaise relance signée Cris (87e). Lyon n’est pas en reste et Gomis voit son missile du droit prolongé sur la transversale par la main ferme de Diallo (88e), qui ne risque pas d’oublier ses premiers pas dans l’élite. Les filets ne trembleront plus, au grand bonheur des Bordelais qui aborderont la prochaine levée dans le fauteuil de leader, avec deux unités de plus que les Lyonnais. Des Lyonnais qui tenteront d’oublier ce mois de novembre et se relancer sur la pelouse de Lille, dimanche prochain…
1. H.Lloris
20. A.Cissokho
13. A.Réveillère
4. J.Boumsong
3. Cris (c.)
17. J.Makoun
6. K.Kallstrom
8. M.Pjanic
10. H.Ederson (77e)
7. M.Bastos Fernandes
14. S.Govou (61e)
9. L.Lopez
19. C.Delgado
18. B.Gomis (62e)
ACF Fiorentina reached the last 16 of the UEFA Champions League for the first time in a decade after overcoming Olympique Lyonnais in Florence, a first-half penalty by Juan Vargas ensuring the Serie A side qualified from Group E with a match to spare.
Contrasting halves
Cesare Prandelli had urged his team to take the initiative by sealing the victory that would spare them a nervous night on Matchday 6 at Liverpool FC, who won 1-0 at Debreceni VSC, and Fiorentina responded with a spirited first-half display, hitting the woodwork twice before scoring on 28 minutes. The second period was less straightforward, however, and Sébastien Frey was called into action to make a crucial late stop from Lisandro before the home crowd could finally celebrate progressing from the group stage for the first time since 1999/2000.
Lloris reflexes
With the visitors from Ligue 1 depleted in defence, the Viola attacked from the start and with Vargas in particular causing problems down the left, Fiorentina took to their task with determination. News that Liverpool had gained an early lead may have strengthened home resolve further, and the Italian club would have been ahead on ten minutes but for the woodwork and the reflexes of Hugo Lloris.
Viola chances
Mario Santana showed exceptional control and athleticism to chest Vargas’s cross in mid-air before volleying first time from the edge of the area. When the ball came back off the upright, Alberto Gilardino was on hand to meet the rebound, but France No1 Lloris tipped his instant effort wide. From the ensuing corner Gilardino was there again, but now his glancing header rebounded off the far post.
Marchionni reward
Save for Bafétimbi Gomis and Cris narrowly failing to connect with crosses from the impressive Miralem Pjanić, Claude Puel’s men barely threatened. The penalty that ultimately separated the sides was reward for the hosts’ greater purpose and the endeavour of Marco Marchionni, who chased down a seemingly lost cause, stole in front of Aly Cissokho and was brought to ground by the full-back. Vargas sent Lloris the wrong way from the spot.
Prodigious Pjanić
The prodigious talent of Pjanić looked Lyon’s most likely route back into the contest, and the 19-year-old twice tried his luck from distance early in the second period. The greater momentum was with the Gigliati, however, and they almost doubled their advantage when Gilardino dragged his attempt wide after being picked out by Marchionni, who was then denied by a last-ditch tackle from Cissokho when released by Santana.
Frey heroics
An even better chance fell to Gilardino after a sweeping move involving Riccardo Montolivo and Lorenzo De Silvestri, but the unmarked Italy striker steered the defender’s cross wide from 12 metres. Tension now began to creep into the home team’s display as they ceded ground to OL and gave away a series of free-kicks. Viola hearts were in mouths when Frey elected to punch another long-range set-piece by Pjanić and, after Jean II Makoun’s effort through a crowded box was scrambled away, Lisandro raced through at the death and unleashed a venomous strike. Frey and Fiorentina held firm, and the final whistle prompted lengthy celebrations.
La première place du groupe E se jouera dans deux semaines. Déjà qualifié pour les huitièmes de finale après ses deux bons résultats contre Liverpool, l’OL s’est incliné sur le terrain de la Fiorentina (1-0), mardi soir, dans le cadre de la 5e journée de Ligue des Champions. Grâce à un penalty de Vargas (25e), à la suite d’une faute de Cissokho, la Viola se sort également de la phase de groupes, laissant Liverpool sur le carreau. Les Gones, eux, n’ont pas su trouver la faille lors de leur révolte très tardive, la faute à un excellent Sébastien Frey.
Quand l’OL fait le bonheur de la Fiorentina. Et la détresse de Liverpool. Les hommes de Claude Puel, déjà qualifiés, se sont inclinés (1-0), mardi soir, du côté de Florence. Après son nul mitigé contre Grenoble (1-1) et avant de recevoir Rennes le week-end prochain en Ligue 1, le représentant français s’oblige à disputer une dernière journée de Ligue des Champions avec la première place du groupe E en jeu. Le duel se jouera à distance avec la Viola, qui, grâce à cette victoire, se hisse aussi en huitièmes de finale, pour la première fois dans cette formule, et éjecte du même coup les Reds.
La Viola fait le travail
Sorti vainqueur de sa double confrontation contre Debrecen, en inscrivant pas moins de 9 buts en 2 matches, le club toscan a trouvé les ressources suffisantes pour faire son bonheur. Dans une rencontre peu emballante, les hommes de Cesare Prandelli ont parfaitement joué le coup, ouvrant la marque sur penalty sans pour autant dominer les débats. Cissokho fauchait par derrière Marchionni dans la surface et le gaucher Vargas transformait la sentence (1-0, 28e). Déjà, lors du premier quart d’heure, la Viola aurait dû ouvrir le score, touchant les montants par deux fois. Santana voyait sa reprise de volée percuter le poteau (11e), avant qu’une tête de Gilardino ne touche également du bois (12e).
Les Gones avaient pourtant réagi entre cette première chaude alerte et l’ouverture du score. L’OL décidait de sortir de sa torpeur en contrôlant les débats grâce à son milieu de terrain, notamment un Pjanic à la justesse technique précieuse. Cris n’était pas loin de reprendre un coup franc lointain de Källström par exemple (24e). Mais concrètement, les visiteurs ne se montraient nullement dangereux, la faute surtout à un Gomis peu disponible. L’ancien Stéphanois avait été préféré à Lisandro, resté sur le banc. Govou et Gomis, les ailiers du jour, ne faisaient rien de bon. Källström et Pjanic devaient ainsi tenter leur chance de loin (45+3e et 48e), sans trouver le cadre.
Les Gones tombent sur Frey
Solide défensivement, la Viola ratait l’occasion de faire le break à l’heure de jeu. Parfaitement lancé en profondeur par Montolivo, Marchionni était repris magnifiquement par Cissokho (63e). Quelques instants plus tard, l’ancien du FC Porto était cette fois-ci à la peine défensivement et laissait filer De Silvestri, dont le centre n’était pas correctement repris par Gilardino (68e). Puel réagissait enfin. Lisandro Lopez faisait son entrée en jeu à la 67e minute, à la place de Bastos. Puel passait en 4-4-2 (Pjanic glissant sur la gauche), avant de sortir le transparent Gomis pour Ederson (74e).
L’OL ne se jetait pas à l’abordage, mais dominait clairement la fin de rencontre. La révolte tardive n’allait finalement engendrer aucun but. Pjanic tentait une nouvelle fois sa chance de loin, sur un coup franc plein axe de 30 mètres, mais Frey repoussait le danger d’une manchette (79e). L’ancien portier de l’équipe de France sortait ensuite deux parades de grande classe pour assurer la qualification des siens. D’abord sur une reprise de Makoun à la suite d’un corner (87e), puis sur une puissante volée de Lisandro (91e). Artemio-Franchi pouvait exploser de joie.
H.Lloris
L.Gassama
A.Cissokho
J.Boumsong
Cris (c.)
J.Makoun
K.Kallstrom
M.Pjanic
M.Bastos Fernandes
L.Lopez (67e)
S.Govou
C.Delgado (74e)
B.Gomis
H.Ederson (78e)
Lyon spurned the chance to move two points clear at the top of Ligue 1 after being held to a surprise stalemate on the road at bottom side Grenoble.
Claude Puel’s perennial title challengers laboured through the contest at Stade des Alpes but looked as though their listless display would go unpunished when Cesar Delgado netted after 66 minutes.
The dismissal of Grenoble’s Laurent Courtois six minutes later appeared to have made it an impossible task for the hosts but Lyon reckoned without Danijel Ljuboja, who hit the leveller just 60 seconds later.
Grenoble’s second point of the campaign comes just a fortnight after the green shoots of recovery first showed with a goalless draw at high-flying Monaco, and tonight’s performance will be a fillip for coach Mecha Bazdarevic, whose side are nevertheless still 11 points from safety.
The hosts did not look like a side without a win in 12 league games at the start of the match as Daisuke Matsui forced Lyon goalkeeper Hugo Lloris to save his cross-shot inside the first minute.
Matsui went closer still after 12 minutes, Laurent Batlles’ cross met with a crunching header by the Japanese striker who was unfortunate to see his effort strike the bar.
Lyon were struggling to get a grip on proceedings and it took until the 32nd minute for the visitors to register a shot on goal when Delgado’s run and cross reached Sidney Govou, who could do no better than fire wide at the far post.
The second period continued along the same lines with Grenoble comfortably containing their hosts during the opening exchanges.
But the warning signs were there for the hosts after 63 minutes when Delgado played a one-two with Lisandro Lopez but saw his effort gathered at the second time of asking by Ronan Le Crom.
The breakthrough came three minutes later, after good approach play by Thimothee Kolodzieczak and Bafetimbi Gomis saw the ball find its way through to Delgado, who made no mistake in a one-on-one confrontation with the goalkeeper.
On 72 minutes the night appeared to be falling apart for Grenoble as Courtois saw red for man-handling the referee, but within a minute the hosts had made sure of a point as substitute Ljuboja latched onto a long ball to fire unerringly past Lloris.
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