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Marca, 24/2/2009

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L’Equipe, 16/2/2009

On a fait une très bonne première mi-temps dans tous les compartiments du jeu, dans l’état d’esprit et dans l’envie, on a bien défendu ensemble et placé des contres intéressants, on s’est donné des occasions de 2-0 après ce très beau but de Juninho. C’est dommage de ne pas avoir concrétisé. A 2-0… En deuxième mi-temps en effet on a souffert parce qu’on a beaucoup couru pour récupérer le ballon. C’est difficile de le faire pendant 90 minutes.

>> Il faudra reproduire la première mi-temps à Barcelone et marquer là-bas…

Il faut déjà se re-concentrer sur le championnat. Au niveau de l’état d’esprit, on a eu la volonté de rivaliser avec Barcelone, il faudra garder ça et la confiance.

>> Au-delà de la fatigue en deuxième mi-temps, l’adaptation tactique du Barça vous a-t-elle gênés?

Ils ont fait des changements notamment en plaçant Eto’o à droite et Messi plutôt dans l’axe. Oui, ça nous a un peu gênés, mais c’était surtout difficile physiquement de continuer à garder le même rythme qu’en première mi-temps. Le Barça sait travailler l’adversaire et nous a fait beaucoup courir.

>> Hugo Lloris a encore fait un match superbe, mais ça n’a pas suffi…

Il a fait de grands arrêts. C’est quelqu’un qui bosse énormément et qui est toujours concentré. On sait que l’on peut compter sur un grand gardien avec lui. Il nous a sauvés deux fois de suite et à ce moment-là on sentait qu’on pouvait tenir le résultat, mais malheureusement on prend ce but.

Recueilli par Philippe Perroud (LeProgrès.fr)

Thierry Henry earned Barcelona a 1-1 draw on his return to France with a second-half equaliser against Lyon in a thrilling Champions League last-16 first leg at the Stade Gerland.

Les Bleus’ all-time leading scorer headed home in the 67th minute to give the Spanish side a precious away goal, putting them in the driving seat ahead of the second leg in a fortnight’s time at the Nou Camp.

Barca deserved a share of the spoils although they were dominated early on by Lyon, who opened the scoring in the seventh minute through midfielder Juninho’s sensational free-kick.

However, once Pep Guardiola’s side weathered the early storm, they were comfortably the better team. They will be confident of finishing the job at home, despite a poor recent run of results in the Primera Liga that has seen them pick up just one point from their last two matches.

Lyon coach Claude Puel had warned his players before the match that they would be up against the “best team in the world” but the hosts began with absolutely no fear, and should have been more than just a goal up by the half-hour mark.

They went ahead with their first effort on goal, an outrageous free-kick by set-piece expert Juninho.

Fouled out on the left wing, just five yards in from the touchline, no-one – not least Barca goalkeeper Victor Valdes – would have expected the Brazilian to shoot from that position.

That is exactly what he did, the ball dipping and curling over the beleaguered custodian and into the top right-hand corner.

Rather than sit back and defend their lead, Lyon poured forward and over-ran the visitors in midfield.

Efforts on goal rained in, with Karim Benzema dribbling a shot wide from an excellent position, Ederson shooting over and Jean Makoun also missing the target.

Both sides then hit the woodwork. Samuel Eto’o was the first, Barca’s Cameroon striker pouncing on a mistake by the otherwise excellent Cris and sending a toe-poke against the post in the 15th minute.

Benzema, looking very dangerous on the break, then cut inside 25 yards out and curled a right-foot shot against the post with Valdes well beaten.

The intensity dropped slightly in the final 15 minutes of the first half, allowing the Blaugrana to finally have time and space on the ball.

Apart from a header from Sergio Busquets that flew over, they did not create a clear-cut chance, but Lyon were grateful to hear the half-time whistle.

They comfortably survived the first exchanges of the second half until Daniel Alves’ 58th-minute free-kick, which took a deflection off Fabio Grosso, had to be superbly beaten out by Les Gones goalkeeper Hugo Lloris, who was flawless on the night.

Having successfully stifled Barca’s free-flowing game in open play, Lyon will have been disappointed to concede a goal in the 67th minute from a set-piece.

Xavi Hernandez sent in a corner from the right that Rafael Marquez flicked on, and Henry was there at the back post to stoop and head in.

That was it as far as goalscoring chances were concerned, although Barca continued to boss possession until the final whistle.

ESPNSoccernet.com

La qualification pour les quarts de finale de la Ligue des Champions se jouera au Camp Nou. L’Olympique Lyonnais et le FC Barcelone se sont séparés sur un résultat nul (1-1), mardi soir, après une rencontre d’une rare intensité disputée au Stade de Gerland. Les Gones avaient pourtant ouvert la marque, par Juninho, sur coup franc, après sept minutes de jeu, mais les Blaugranas ont répliqué, en seconde période, par Thierry Henry sur corner (67e). Les champions de France ont fait plus que jeu égal avec l’ogre catalan, trouvant même le poteau, par Karim Benzema, à la 27e minute de jeu.

Il faudra un exploit. Malgré une excellente prestation, l’Olympique Lyonnais n’est guère plus avancé que la saison dernière, après son huitième de finale aller face à Manchester United, qui s’était déjà soldé sur un match nul par 1 but partout. Le scénario de la rencontre avait été identique, avec l’ouverture du score en faveur des Gones et l’égalisation des Red Devils, déjà sur corner. Le Barça, qui reste sur trois matches sans victoire, est moins solide que le champion d’Europe en titre, mais sa force de frappe offensive est impressionnante, surtout à domicile. Pour se qualifier, les champions de France devront imiter le FC Metz de Jules Bocandé, qui, une folle nuit d’automne 1984, avait terrassé les Catalans au Camp Nou, sur le score de 4 buts à un…

Le 43e coup franc de Juninho

Au coup d’envoi de la rencontre, le plan tactique de Claude Puel pour contrer les Blaugranas découlaient du bon sens. Pour dominer ce Barça-là, meilleure équipe du monde depuis le début de la saison, il fallait bloquer les couloirs, jouer le plus possible dans le dos de Dani Alves, latéral brésilien aspiré par l’avant, profiter du moindre coup de pied arrêté pour porter le danger au devant de Victor Valdès et prier Notre-Dame de Fourvière. La première période allait se passer presque comme dans un rêve. L’entraîneur gone ne fanfaronnait pas, au micro de TF1, quand il regrettait les occasions manquées du tuer la rencontre : “On devrait avoir mis deux ou trois buts”, maugréait-il, perfectionniste en diable.

Il faut dire que les Gones, contre tous les pronostiques des Cassandre du football français, avaient entamé cette double-confrontation de la meilleure des manières, en marquant un but sur leur premier opportunité. A la 6e minute de jeu, Honorato Ederson obtenait un bon coup excentré, côté gauche. Le Stade de Gerland ronronnait de plaisir. Et pour cause… De son pied droit magique, Juninho lobait Victor Valdès d’un coup franc soyeux qui terminait sa course directement dans la lucarne opposée (0-1, 7e). Du grand art et le 43e coup franc victorieux de maître Juni sous le maillot gone. Mené au score, le bateau catalan tanguait dans les grandes largeurs à chaque vague lyonnaise. Lancé en profondeur, Karim Benzema croisait trop sa frappe, par précipitation (8e). Jean II Makoun avait aussi une belle occasion, non cadrée, après une “Mancini” d’Ederson sur Dani Alves (13e).

Après un quart d’heure en enfer, le Barça réagissait enfin. Après un coup franc de Lionel Messi, directement dans les gants d’Hugo Lloris, Xavi Hernandez trouvait Samuel Eto’o dans la surface de réparation. L’attaquant camerounais plaçait un petit pointu qui finissait sa course, contre le montant droit du but lyonnais (15e) ! Malgré cette chaude alerte et les premières accélérations de Lionel Messi sur le côté droit, l’OL continuait de regarder les Blaugranas dans les yeux. Après une frappe de Xavi au-dessus du but lyonnais, Karim Benzema touchait du bois à son tour, sur une merveille d’enchaînement du droit (27e). Le jeune prodige français aurait pu être le héros de la rencontre, avec un peu plus de réussite et de lucidité. Lancé en contre, il oubliait Jean II Makoun, à trois contre deux (37e). Avant le repos, le FC Barcelone montait encore d’un cran, sur le terrain, et les longues phases de passes à dix fatiguaient les organismes lyonnais. A la mi-temps, néanmoins, les champions de France menaient logiquement au tableau d’affichage…

Le Barça a tremblé

Au retour des vestiaires, la physionomie de la rencontre n’avait pas changé. Le Barça monopolisait le ballon au milieu du terrain, mais l’on sentait les Gones prêts à croquer les mollets blaugranas à chaque miette d’occasions laissée sur le pré. Juninho, à la 54e minute, armait un nouveau missile sol-air, à 25 mètres du but catalan. Cette fois-ci, Victor Valdès était sur la trajectoire du ballon. Il parvenait à le contrôler, en deux temps, et sonnait peut-être le glas des espoirs lyonnais (54e). La suite, en effet, allait être cruelle pour le dernier représentant tricolore engagé en Ligue des Champions. Hugo Lloris retardait longtemps l’échéance, presque irrémédiable, de l’égalisation espagnole. A la 57e minute de jeu, l’ancien Aiglon réalisait une parade de classe mondiale sur un coup franc de Dani Alvès, détourné par le mur lyonnais. Pris à contre-pied, le jeune portier repoussait finalement le ballon de la main droite, dans un arrêt digne de Thierry Omeyer, le gardien de l’équipe de France de Handball.

Hugo Lloris devait pourtant s’incliner, onze minutes plus tard, sur un nouveau coup de pied arrêté. La combinaison sur le corner frappé côté droit a dû être travaillée à l’entraînement. Au premier poteau, Rafael Marquez remisait le ballon pour Thierry Henry, placé en embuscade. Le recordman des buts marqués sous le maillot bleu se couchait bien sur le ballon et égalisait d’une tête plongeante, au second poteau (1-1, 67e). Dès lors, l’Olympique Lyonnais semblait hésiter sur la conduite à suivre. Fallait-il accélérer de nouveau, sous peine d’aller droit dans le mur en laissant des espaces aux Catalans ou bien se satisfaire de ce résultat nul, face à une équipe beaucoup plus forte sur le papier ? Claude Puel lançait du sang neuf dans la bataille et les dernières minutes, sous haute tension, en disaient long sur les mérites lyonnais dans cette rencontre. Le Barça a tremblé sur ses fondations, son placement si haut sur le terrain et son côté droit, véritable arme à double-tranchant. Mais les Blaugranas peuvent désormais attendre les Gones au match retour, forts de leur but marqué à l’extérieur. L’OL, de toute façon, devra tout donner.

Football.fr

OL
Titulaires :

* Lloris
* Cris Carton jaune 88′
* Boumsong
* Mensah
* Grosso Carton jaune 32′
* Juninho But 7′ Sortie 79′
* Makoun
* Toulalan Carton jaune 24′
* Ederson Sortie 64′
* Benzema
* Keita Sortie 88′

Remplaçants :

* Vercoutre
* Gassama
* Pjanic Entre 88′
* Delgado Entre 64′
* Källström Entre 79′
* Mounier
* Piquionne

Bousculé sur la pelouse de l’AS Nancy-Lorraine, l’Olympique Lyonnais a trouvé les ressources pour s’imposer (0-2), samedi soir, tout en préservant ses joueurs cadres en vue du huitième de finale aller de la Ligue des Champions, mardi contre Barcelone. Un succès qui permet aux Rhodaniens de faire le trou en tête du championnat et de démontrer, une fois de plus, la qualité de son banc. Rassurant avant d’affronter l’ogre catalan qui, lui, a chuté sur sa pelouse contre l’Espanyol…

Elle est peut-être là la force de l’Olympique Lyonnais. En s’imposant en terre nancéenne, le septuple champion de France a une nouvelle fois fait preuve de détermination et de caractère dans un match qui aurait très bien pu se retourner en la faveur des locaux. C’est la huitième victoire de l’OL à l’extérieur cette saison, un signe que les coéquipiers de Karim Benzema ne sont pas habitués à perdre des points loin de leurs bases, surtout dans des matches supposés à leur portée.

Un match bien géré

Et pourtant, au vu du match, les Nancéens auraient peut-être mérité un autre sort. Mais face au réalisme rhodanien, les hommes de Pablo Correa n’ont su répondre que par un excès de maladresse et de malchance. Comme en témoigne le penalty manqué par Youssouf Hadji, l’attaquant lorrain se heurtant à Hugo Lloris peu après le retour des vestiaires (50e).

Mais la victoire olympienne a surtout été gagnée au milieu de terrain, l’entre-jeu rhodanien n’offrant que peu d’occasions à ses adversaires de s’exprimer outre mesure. Dans ce domaine, Jérémy Toulalan et Jean II Makoun ont, une fois encore, rendu une copie très propre, bâtissant un véritable barrage à la récupération. Le turn-over effectué par Claude Puel a également permis à Anthony Mounier et Miralem Pjanic de montrer qu’ils pouvaient proposer une solution de remplacement intéressante à l’entraîneur rhodanien.

Mieux que le Barça

Et si quelques approximations sont venues ternir la prestation de deux Espoirs français, l’appui de César Delgado s’est révélé précieux. L’Argentin, de retour de blessure, a été omniprésent dans le jeu offensif lyonnais. Mais, peu aidé par un Frédéric Piquionne en manque d’inspiration, il n’a pas été en mesure d’accentuer l’avantage des siens au panneau d’affichage. Sa titularisation a permis à Kader Keita de souffler un peu, tout comme Karim Benzema qui n’aura joué qu’une trentaine de minutes. Assez pour inscrire son douzième but de la saison cela dit…

Alors qu’on s’attendait à voir un Olympique Lyonnais distrait par l’importance de son prochain match de Ligue des Champions, les Rhodaniens ont tout simplement profité des contre-performances de Toulouse et Paris pour creuser l’écart en tête du championnat. Au moment où on les attendait le moins, les coéquipiers de Jérémy Toulalan reprennent six points d’avance sur leur premier poursuivant et peuvent préparer sereinement la réception du FC Barcelone. D’autant que les Blaugrana ont chuté pour la première fois depuis le mois d’août, concédant une défaite inquiétante face au voisin de l’Espanyol Barcelone (1-2). Serait-ce un signe pour l’OL ? Quoi qu’il en soit, il est sûr que les Gones seront dans de meilleures dispositions psychologiques pour aborder cette rencontre. C’est déjà ça de pris…

Football.fr

Ligue 1 leaders Olympique Lyon moved six points clear with a solid 2-0 win at Nancy as their rivals stalled on Saturday.
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Seven-times champions Lyon have 52 points from 25 games after Brazilian defender Cris and striker Karim Benzema netted either side of the interval.

Lyon lead second-placed Paris St Germain, who were held to a goalless draw at Grenoble, with Toulouse third seven points off the pace following a 0-0 draw at home to Valenciennes.

PSG dominated throughout at the Stade des Alpes but Stephane Sessegnon, Ludovic Giuly and Guillaume Hoarau proved too clumsy in the area, just like Toulouse striker Andre-Pierre Gignac, the top scorer in Ligue 1.

Three days before hosting Barcelona in the Champions League, Lyon showed composure, although not great football.

They were barely troubled and went ahead after 19 minutes when Cris headed home from a Cesar Delgado corner.

Lyon sat on the advantage and survived a penalty scare six minutes into the second half. Keeper Hugo Lloris parried Youssouf Hadji’s kick from the spot after Lamine Gassama had fouled Jonathan Brison.

In the last minute, Cameroon midfielder Jean Makoun set Benzema up with a perfect cross and the France striker coolly slotted the ball past Nancy keeper Gennaro Bracigliano.

Stade Rennes stayed in the race for a Champions League berth with a 1-0 win at Nice. Midfielder Olivier Thomert met a Jimmy Briand cross in the box to score in the 67th minute.

Rennes are sixth, three points behind Toulouse, who occupy the last Champions League qualifying spot.

Relegation is looming for bottom club Le Havre, who lost 2-1 at home to AJ Auxerre and, with 15 points, they are now 10 from safety with 13 matches remaining.

Olympique Marseille will have the opportunity to reduce Lyon’s lead to five points when they host Le Mans on Sunday.

ESPNSoccernet.com

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